“Si on adoptait le quart de ces mesures en période d’influenza, il n’y aurait plus de reportages sur le débordement des urgences au début janvier. Les journalistes et les commentateurs se trouveraient autre chose à dénoncer.”
“Si on adoptait le quart de ces mesures en période d’influenza, il n’y aurait plus de reportages sur le débordement des urgences au début janvier. Les journalistes et les commentateurs se trouveraient autre chose à dénoncer.”